La neuvième édition de la journée « Paris Respire » est prévue pour le 17 septembre prochain. Pendant cette journée, la circulation des véhicules sera restreinte dans la capitale de 11 heures à 18 heures, bien que quelques exceptions soient envisagées.
7 heures sans véhicules
La neuvième édition de la journée « Paris Respire », au cours de laquelle la circulation automobile est interdite, approche rapidement. Cet événement est prévu pour le dimanche 17 septembre, de 11 heures à 18 heures. Pendant ces sept heures, aucun véhicule à moteur ne sera autorisé à circuler dans Paris intra-muros.
Cette restriction s’applique à l’ensemble de la ville, à l’exception du périphérique. Elle concerne même les deux-roues motorisés et les voitures électriques. Cette mesure soulève la question de la nécessité de restreindre la circulation des véhicules électriques, qui ne produisent pas de polluants lors de leur utilisation.
Quoi qu’il en soit, la mairie a pris cette décision : « Comme l’an dernier, c’est toute la ville qui sera réservée aux circulations non polluantes, vélo, rollers, trottinettes, skateboard et long-board, … Mais aussi aux piétons et usagers des transports en commun ».
Les exceptions
En conséquence, les autobus seront autorisés à circuler sur les routes de Paris, avec une limitation de vitesse fixée à 30 km/h. Ils seront rejoints par les véhicules de secours, les taxis et les VTC, qui devront également respecter cette limite.
Dans les périmètres définis pour « Paris Respire », la vitesse maximale sera réduite à 20 km/h. Ces zones, qui sont déjà régulièrement fermées à la circulation le week-end, ne permettront pas l’accès aux VTC, contrairement aux bus, aux véhicules de secours et aux taxis.
D’autres exceptions peuvent être envisagées, et vous pouvez les consulter sur le site de la mairie. Par exemple, les conducteurs qui rentrent de week-end pourront entrer dans la capitale en voiture, à condition de présenter un justificatif de domicile, permettant ainsi de rentrer chez eux. Cette mesure rappelle les restrictions de déplacement mises en place en 2020. Les contrevenants s’exposent à une amende de 135 euros.