Une Ferrari et une Lamborghini en guise d’héritage !

Avec les héritages, tout peut arriver : bonnes ou mauvaises surprises. Si la plupart du temps, les biens accumulés ont surtout une valeur sentimentale, certains touchent véritablement le gros lot lors de la disparition d’un proche. C’est le cas de cette Américaine qui a été très étonnée en découvrant qu’elle allait recevoir une Ferrari et une Lamborghini en guise d’héritage ! Tous les détails de ce surprenant héritage dans cet article !

Une surprise de taille

Nos grands-parents ont connu de dures périodes au cours de leur existence : crises, guerres, privations, etc. Conditionnés par ces temps difficiles, ils en portent souvent les stigmates toute leur vie en faisant preuve d’un conservatisme extrême ou en regardant toujours à la dépense bien qu’ils soient plus à l’aise que dans le temps.

Cette façon de faire les amène parfois à constituer une véritable caverne d’Ali Baba. Une grande quantité d’objet que nous ne connaissons pas toujours. Mais quand il s’agit de voitures de luxe, le fait est assez exceptionnel pour être raconté. C’est ce qu’a vécu une Américaine qui venait de perdre sa grand-mère. 

Alors qu’elle se rend chez ses grands-parents pour commencer à faire le tri dans les biens et à désencombrer la maison, qu’elle ne fut pas sa surprise de tomber sur trois véhicules de collection. Cachées sous une bâche dans le garage, une Lamborghini Countach, une Ferrari 308 et une MGT (voiture anglaise d’avant-guerre) attendaient patiemment de faire le bonheur de quelqu’un.

La provenance de ces véhicules d’exception

A priori, ces voitures de luxe appartenaient à son grand-père qui dirigeait en son temps un commerce de location de prestigieuses voitures. Lorsque l’on connaît un peu l’histoire, on sait que la flambée des tarifs des assurances a entraîné la fermeture de nombreuses sociétés automobiles dans les années 1980. C’est donc à ce moment-là que le grand-père a dû conserver ces véhicules au lieu de les revendre. La jeune héritière a d’ailleurs confirmé qu’il circulait lui-même à bord d’une Mercedes-Benz 300SL « Gullwing » de 1955.

Ces véhicules sont en parfait état, mais n’ont pas roulé depuis plus de 20 années. De plus, ils ont été soumis à de rudes conditions, car le garage était froid et non entretenu. Il va alors falloir remettre en état ces voitures de luxe avant de songer à  les revendre. Bien que l’apparence extérieure soit satisfaisante, la remise en état mécanique risque de coûter assez cher. Cependant, de tels modèles avec une telle histoire devraient intéresser collectionneurs et amateurs de belles italiennes.

Voitures d’occasion, Actualités automobiles, Vous aimerez lire aussi …

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest
WhatsApp
Email