Découvrons le SUV Avenger de Jeep

Depuis le lancement du Trophée en 1964, un seul constructeur américain a connu le succès : Ford. Le constructeur a gagné en 1981 avec l’Escort, 1986 avec la Scorpio, 1994 avec la Mondeo, 1999 avec la Focus et 2007 avec la S-Max. Ces voitures ont été développées par la branche européenne de la société Ford et ont été fabriquées pour le marché européen. La Ford Mustang est troisième en 1965 et la Tesla Model 3 est deuxième en 2020 pour les voitures américaines. En 2023, la Jeep Avenger pourrait potentiellement acquérir ce prix.

Une grande polyvalence

Avec ses 4,08 m de long, la Jeep Avenger est exceptionnellement petite, ce qui la rend idéale pour les trajets urbains, tout en offrant la polyvalence nécessaire à la conduite en dehors de la ville. Elle dispose d’un moteur électrique très puissant créé par M3 EMotors en France, avec 156 ch sur la première édition. Cette voiture d’entrée de gamme, moins chère que le Renegade, se distingue de ses concurrentes et même de ses homologues techniques, les Peugeot e-2008, Opel Mokka Electric et DS3 E-Tense, par ses quatre roues motrices. Le tout sera complété par un second moteur électrique à l’arrière du véhicule.

Quelques points faibles

Il semble que la Jeep Avenger soit vouée au succès. Néanmoins, il y a quelques petits défauts qui doivent être corrigés. L’autonomie est annoncée à 400 km, voire 550 km en ville, mais cela reste à vérifier par nos propres tests. Le système de direction peut être affiné et, en raison de sa taille, les sièges arrière de la voiture sont un peu exigus.

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